Geneviève, ma chéri.
            Comme les temps passe rampant!
            Il n´a pás de prix por nous que dans ce seul moment, et dan se seul regard qu´il jette à sa maîtresse...
Passé la histoire romantique où la passion plein d´audace, n´eut qu´un demi-succès.
Je me suis arrêté stupéfait.
Je n´imagine quand toi est evoque um amour qui dure assez longtemps pour devenir un devoir, pour se transformer em vertu, pour vivre, au-delà de la nature et de ses défaillances.
Je veux voir encore longtemps le soleil si c´est pré de vous que je dois achever ma vie. Que mon amour et bon sens expirent à vos pieds (toujours pieds!) comme ces vagues dont vous aimez le murmure.
Vous êtes partie, je ne sais plus que faire. Où vous manquez, toute manque. Je rentre em moi. Mon écriture diminue, mes idées  s´effancent; Il ne m´en reste plus qu´une: c´est vous!
Oh! Que je me trouverai bien couché, mon dernier rêve étant pour vous!
Maintenant, incoherence, toi était amourreuse et courait après son amor, trop occupée à être deçue par l´un pour ne pas décevoir l´autre.
Geneviève thraissait était absente…