Lac noir...

Sous le palco brumeux et vide de mes rétines je suis d'autres pour marcher, oublié me, le paysage, du soleil de réglage qui me chauffe fronte cependant que je perçois, en cette absence involontaire de contemplation, votre présence pour me confondre les pensées devenant dans une seulement… Un composé de magie et de nature comme si à la plaza tout à mon redor dans la plénitude vous a appartenu E en me faisant participer en ce votre monde a rayonné de la lumière, découvrant mes paupières plus lâches contemple en tant que personne aliénée ou peut-être en tant que visionnaire les beautés qu'il y a bien longtemps avant toi, la personne aveugle sans les vouloir déjà ne pourrait pas voir qu'E que je suis ainsi, pour compter les étapes à moi dans les courbes de sinuosas de ce lac Relembrando sans vouloir votre crique blanche de cuisses, avec les vagues E de calme dans cette oscillation de vos hanches plongeant pendant que je suis fait naufrage mon désir sans percevant moi suis ivrogne… Je tisse un parallèle entre la mer et le lac, E dans cette confusion que je me noie…